Par Jean Paul HABIMANA

Le Festival International Belgique Afrique (FIBA,) accueille un invité de marque : l'Ambassadeur de la Paix Benoît Brown qui devrait jouer un rôle de premier plan dans le volet humanitaire de cet important événement organisé par l'Asbl Œil d’Humanité et devant accueillir des invités comme  Cecile Vainsen,

Son Excellence Monsieur Dosso Moussa, Ambassadeur de la Côte d'Ivoire en Belgique, et tant d'autres.

Mesdames

L'ambassadeur de la paix n'a pas caché son immense joie et sa gratitude d'être parmi les heureux participants à cette première édition du Festival International Belgique-Afrique (FIBA 2025). Il a tenu à remercier l’ASBL Œil d’Humanité, son Président Jean Paul Habimana,  pour "cette belle initiative qui célèbre la richesse de nos cultures et l’amitié entre l’Afrique et l’Europe."

Citoyen Ivoirien avant d'être citoyen du monde, l'ambassadeur de la paix s'est dit particulièrement honoré que son pays, la Côte d’Ivoire, soit mis à l’honneur cette année. "Ce choix est une reconnaissance du dynamisme culturel, économique et touristique de notre pays", estime-t-il. C’est aussi une belle opportunité de partager avec les autres (la Belgique et les pays africains participants au FIBA) notre patrimoine exceptionnel, nos talents et notre vision d’un avenir fondé sur la coopération et la solidarité entre les peuples", a-t-il poursuivi.

Pour M. Benoît Brown, le FIBA rappelle une vérité essentielle : "la culture est un puissant vecteur de rapprochement entre les peuples. Il permet de mieux se comprendre, de  s'apprécier mutuellement et de bâtir ensemble un monde plus harmonieux", estime - t - il.

En tant qu’opérateur économique du tourisme, Benoît Brown s'est dit convaincu que la culture et le tourisme sont des leviers majeurs du développement. Pour lui, ces deux secteurs favorisent les échanges, créent des opportunités économiques et participent à la construction d’une identité commune, enracinée dans le respect et la diversité.

Il estime qu'aujourd’hui plus que jamais, "le tourisme doit être un instrument de paix car il nous invite au dialogue, à l’ouverture sur le monde et à la découverte de nouvelles perspectives". Son pays la Côte d’Ivoire, avec sa diversité culturelle, sa richesse naturelle et son hospitalité légendaire, est un exemple vivant de cette dynamique. Elle peut donc, avec des hommes de bonne volonté comme M. Benoît Brown, faire des émules en Afrique pour défendre la cause de la paix et du développement, déployer des preuves d'amour pour son prochain et assurer à l'humanité progrès et prospérité.

C'est, estime-t-il, le sens qu'il faut donner  à son soutien sans faille au FIBA. Car, au-delà de l’économie et du développement, il déclare que son "engagement en tant qu’Ambassadeur de Paix (le) pousse à voir en ce festival un message fort : celui de la fraternité, du dialogue et du vivre-ensemble."

Un engagement que justifie l'état déplorable d'un Monde qui, "comme il va", va très mal. La multiplication des conflits et des divisions créent le désarroi, menacent la tranquillité et la paix du monde  son unité.

En cela, le FIBA ne doit pas être vu comme un fait anodin. Une rencontre culturelle comme une autre ? Non ! Le FIBA "est une pierre posée à l’édifice de la paix. Bâtir des ponts entre nos cultures, entre l’Afrique et l’Europe, entre nos traditions et nos modernités, c’est œuvrer pour un avenir commun fondé sur le respect et la compréhension mutuelle", rassure M. Benoît Brown. Il est nécessaire d'en faire "le point de départ d’une dynamique forte et durable" ouvrant la voie à des "projets concrets de coopération culturelle, économique et touristique" entre les pays d'Europe et d'Afrique. Un tel projet ne peut se réaliser qu'à travers des investissements porteurs dans l'industrie culturelle et le tourisme mais également par le soutient sans faille aux initiatives de paix et de développement, mettant les talents engagés et les ressources disponibles au service du bien commun.