Par Léonard BOSSCHAERT
Nous sommes convaincus qu’une bonne façon de limiter les réfugiés économiques est de soutenir l’activité des entreprises en Afrique.
Ce projet est né d’une demande d’une grosse boulangerie béninoise d’être aidé pour remplacer une partie de la farine de blé qu’elle met dans son pain par de la farine locale de manioc. Cette demande adressée par M. Calixte Assogba auprès d’Ex-Change-Expertise1 (ECE) est gérée par Léonard Bosschaert.
Une dizaine de camionnettes et de nombreuses motos distribuent jusqu’à Cotonou le pain produit à Ouidah
Au fil de la collaboration, il est apparu qu’il fallait, dans un premier temps en tous les cas, se limiter à introduire de l’ordre de 10% de farine de manioc et que cette farine n’était pas disponible en quantité ni en qualité. Et il est aussi apparu que le séchage du manioc était une étape aléatoire dans la production.
De g. à dr. : Calixte, Léonard, Jackie l’épouse et trésorière de Calixte, et Gabriel le représentant local d’ECE
En septembre 2019, Louvain Coopération2, qui soutient un groupe de coopératives (GROPERE) produisant du manioc au Bénin, proposait aux étudiants en master, qui optaient pour l’unité d’enseignement « IngénieuxSud3 », de s’engager dans l’étude d’un séchoir modèle durant l’année académique et d’aller ensuite le réaliser dans une des coopératives.
L’étude a été réalisée par 4 étudiants, Anaïs Cauchie, Thomas Tasiaux, Salomé Thonon et Donatien Baudelet, mais le COVID 19 ne leur a pas permis de réaliser le séchoir sur place, durant l’été 2020.
Trois des 4 étudiants souhaitent réaliser la construction de ce séchoir durant l’été 2021 au Bénin et recherchent un soutien financier à leur projet.
Vous pouvez les soutenir en versant une contribution sur le compte n° BE09 6511 4030 5957 BIC KEYTBEBB d’Ex-Change-Expertise avec la communication « Pour une séchoir à manioc au Bénin ». Tout versement avant la fin de l’année est déductible à 60%.
Un écho de leurs activités au Bénin sera soumis pour publication dans ces colonnes.
